Quand un enfant reste rivé à sa console pendant trois heures, zappe de TikTok à YouTube sans lever les yeux, ou pique une crise quand on lui dit “stop”, on a tous pensé (ou dit) :
👉 “Il est accro, c’est pas possible !”
Mais entre simple passion numérique et réelle perte de contrôle, il y a un monde. Et surtout, des signes précis à surveiller pour savoir si un usage est encore “normal”... ou s’il est temps d’agir.
“J’ai récupéré une bombe à retardement tous les soirs à 19h”
C’est ce que confiait Camille, maman de deux garçons de 9 et 13 ans.
“Le petit, il regarde YouTube Kids, OK. Mais le grand… Fortnite, WhatsApp, TikTok… Et dès qu’on coupe, c’est hurlements. Il y a un moment où je me suis dit : je ne le reconnais plus.”
Ce que Camille a compris ? Crier ne sert à rien. Comprendre et rééquilibrer, si.
Le mot “addiction” fait peur. Mais chez l’enfant, il s’agit rarement d’une dépendance au sens médical du terme. Il s’agit plutôt d’un déséquilibre : un usage qui devient excessif, émotionnellement chargé, et qui nuit à la vie quotidienne.
Ce n’est pas le nombre d’heures qui compte.
C’est ce que les écrans remplacent : sommeil, jeux dehors, lien avec les autres, apprentissage…
1. Crise immédiate dès qu’on coupe l’écran
Colère, chantage, larmes, parfois même violence physique. Le sevrage soudain déclenche une réaction émotionnelle extrême.
2. Détérioration du sommeil
Votre enfant traîne pour aller au lit, se réveille fatigué, ou vous surprenez de la lumière sous la porte à 22h.
3. Désintérêt pour d'autres activités
Lego, livres, cuisine, jeux de société ? “Non merci, je préfère ma tablette.” Un signe fort de perte de diversité dans ses loisirs.
4. Perte de concentration ou résultats en baisse
Difficulté à rester attentif plus de quelques minutes sur un devoir. L’esprit “scrollé” zappe aussi dans la vraie vie.
5. Isolement et retrait social
Votre enfant évite les interactions familiales ou amicales pour rester dans son univers numérique.
⚠️ Aucun de ces signes ne signifie “addiction” à lui seul. Mais plusieurs combinés sur la durée, c’est le signal d’alarme.
Beaucoup de parents, dépassés, coupent tout : téléphone confisqué, console cachée, Wi-Fi coupé.
Résultat ?
Ce n’est pas un problème d’autorité.
👉 C’est un problème de cadre éducatif, dans un monde qui a changé.
🔄 1. Revoir les règles en famille, pas en solo
Laissez votre enfant participer : on ne subit pas ce qu’on co-construit. Parlez de ce que les écrans empêchent (sommeil, école, sport), pas de ce qu’ils sont.
📅 2. Mettre en place une routine équilibrée
Des plages horaires, un quota, des temps off clairs… et aussi des temps “ON” assumés. L’interdit intégral n’est pas viable.
🎯 3. Remplacer plutôt que supprimer
L’enfant ne lâchera pas TikTok si “l’après” est morne. Préparez une alternative plaisante : jeu de société, cuisine, séance de quiz... avec vous.
💡 4. Rendre l’écran actif et non passif
Et c’est là qu’Altus entre en jeu.
Altus n’est pas un bloqueur d’écran.
C’est un outil de transition intelligente qui apprend à votre enfant à gagner son temps d’écran en apprenant.
Concrètement
Résultat ?
Un changement de posture : vous n’êtes plus le méchant parent, mais le coach bienveillant.
🎬 “On ne combat pas une tempête avec un parapluie. On apprend à naviguer.”
— Inspiré de Maria Montessori
Et vous avez le pouvoir d’adapter votre réponse.
Les écrans sont là. Leur impact dépend moins de leur présence que de leur usage.
Vous pouvez transformer le stress numérique en opportunité éducative.
🎁 Commencez par un petit pas: testez Altus gratuitement.
Et reprenez la main. Sans braquer. Sans crier. En construisant.
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